L´aimable en la farce, la panse et le gras, Et macule la laideur, nous y voilà, Le voici à la besogne, affûté à la nudité, Les organes dociles en sont l´effet… L´aimable burine et les corps turbinent,
Le messager s´acharne, très peu digne, Une basse oeuvre donc, ni farandole, ni ritournelle, Et s´acharne sans réserve, quelques séquelles… L´aimable se déride, satisfait de l´aisance, La dame danse et souffle sous les instances, Elle chante et sécrète, burlesque femelle, La chienne ruisselle et l´ivresse veille… L´aimable se pâme de la plus vilaine posture, L´envieuse s´offre en elle les faits de la raclure, Les deux s´effondrent, admirable répugnance, Lui, difforme, elle, défraichie, les deux, rances… Et l´affable prochain, Et l´infame et ses besoins, Et récolte à la charrue, La pleine, la charnue…