Bien sûr vous ne pourriez comprendre Ce que cette âme était pour moi Un parterre de fleurs d´oranges Allongé là tout contre moi Ce fut par une nuit blanche
Passant par là, passant par là Je pleurais sans me faire entendre Pour quelque amour d´autrefois
Si le bonheur vous laisse en berne Il peut venir du coin d´un bois Et prendre du destin les rênes Ecoutez-moi, écoutez-moi.. Moi j´voudrais juste qu´on m´apprivoise, Qu´on m´apprivoise, Moi j´voudrais juste qu´on m´apprivoise, Qu´on m´apprivoise, Sans me juger, sans me blesser Sans me chasser, sans me garder... Je la vis comme on lit un poème Elle se coucha non loin de moi Plus de larmes, plus de rengaines Elle était là, elle me fit Roi,
Dès lors chaque jour, chaque heure
A petits pas, à petits pas Elle vint faire oublier les haines Et du chagrin le désarroi
Si le bonheur vous laisse en berne Il peut venir du coin d´un bois Et prendre du destin les rênes Ecoutez-moi, écoutez-moi.. Moi j´voudrais juste qu´on m´apprivoise, Qu´on m´apprivoise, Moi j´voudrais juste qu´on m´apprivoise, Qu´on m´apprivoise, Sans me juger, sans me blesser Sans me chasser, sans me garder...
Je la pris un jour dans mes bras Ses petits yeux posés sur moi Firent d´elle la plus belle Tu m´apprivoises, me voilà Mais comme le vent se lève Un jour de ci, un jour de là Des heures d´attentes vaines Me firent craindre le trépas
Si le bonheur vous laisse en berne Il peut venir du coin d´un bois Et prendre du destin les rênes Ecoutez-moi, écoutez-moi.. Moi j´voudrais juste qu´on m´apprivoise, Qu´on m´apprivoise, Moi j´voudrais juste qu´on m´apprivoise, Qu´on m´apprivoise,
Sans me juger, sans me blesser Sans me chasser, sans me garder...
Bien sûr vous pourriez comprendre Si mon bonheur pas à pas Vous frôlait le corps et le coeur Cette petite âme si chère à moi Si le bonheur vous laisse en berne Il peut venir du coin d´un bois Et prendre du destin les rênes Ecoutez-moi, écoutez-moi...