Le Remède, à l´instant, se cache et se fâche, Et trône puis renverse la kyrielle lâche... Celle, l´indocile, la querelle nouvelle, L´indécence imbécile, hostile à l´étincelle... Le Crâne, en la suite, empoisonne et emprisonne,
En la Troisième Heure, en le Sang, et se donne... Je vois la Chair solaire, en l´effondrement, Entre l´eau, le feu, la terre, les quatre jolis vents... Et le Manteau Rouge en le supplice et la démence, Je le sais en l´errance et défait en l´offense... Mais la conduite, la suite, les Apôtres souverains, En le grand Jardin Roi, en le Pain et le Vin... J´éprouve enfin les phrases, les Sept Dernières, Et se brisent la frise, la prière et la colère... Et l´exquise (m)éprise, la Femme Seule a vu, La mesure du Lieu en la Tombe irrésolue... Et l´on dit de moi, et je dis de moi : " Je suis Légion, je porte l´Oraison... " Et l´on dit de moi, et je dis de moi : " La Semence bergère et la danse Solaire... "
Et les Anciens se taisent, et les maux s´entrecroisent, Et la Lune s´élève, et les feux s´embrasent...