Trois heur´s moins deux retarde ses aiguilles Au soleil d´un volet qui baille Et ça respire tout au fond du vent C´est un rideau qui court autour de ses mailles
Tu pousses l´amour vers moi J´aime bien les mots qui t´viennent tout bas mais
Est-ce que tu sais que j´t´aime en pagaille C´est comme un mal de vivre à la débraille Le feu de dieu qui court dans les entrailles Et qui vous laiss´ le corps si lourd Juste après l´amour
Et le jour traîne d´une heure à peine Au fil des ombres longues sous le bout des doigts La nuit va rev´nir monter sans rien dire Le long des arbres tièdes et jusqu´au bord du toit
Tu pousses l´amour vers moi J´aime bien les mots qui t´viennent tout bas mais,
Est-ce que tu sais que j´t´aime en pagaille C´est comme un mal de vivre à la débraille Le feu de Dieu qui court dans les entrailles Est-ce que tu sais que j´t´aime en pagaille.
Est-ce que tu sais que j´t´aime en pagaille C´est comme un mal de vivre à la débraille Le feu de Dieu qui court dans les entrailles Est-ce que tu sais que j´t´aime en pagaille.