J´suis Marseille, j´suis la street, continue de faire l´ancien, toi, t´es la cible J´continue de m´entraîner, j´me délaisse aux profits de ma poche et d´mes relations Le plus radin met la sienne quand sa position se trouve menacée Celui qui fait déborder l´vase, c´est celui qui payera tous les pots cassés Combien d´billets dans la tess, merde ? On complète le circuit par Terre-Mère Et son lot d´hypocrites est permis, ceux qui ont déjà vendu père, mère J´me permets, je vais froisser le gamos sans permis Vu mes problèmes, la bouteille, j´la termine J´dis des vérités comme c´est pas permis, et ça peut faire mal, j´vise en plein mille Assez pragmatique, séduis le bâtard qui braque ma paye
J´reviens dans un 4x4 4matic ; 3.5.7, aucune balistique me casse la tête J´ai fracturé l´armature (eh), facturé Larlar net (wow) J´contredis Dame Nature, paye l´guitariste avant l´bal masqué (hey) Cette année, j´reviens à la raison, mon cœur est rentré à la maison J´n´écoute que les ordres de maman, les conseils de Moha, les paroles de Messin (hey) Ah, toi, ça te touche pas, tu plaisantes ? Tu comprends pas combien j´représente J´ai connu le goût de la misère, le 3ein, et le buzz et les formes du plaisir (oh) On n´a pas la forme, on les dévore, visage balafré, on se défonce Dans le mal, on relève le défi qui dévie, qui détruit le cadavre du défunt (wow)
Écoute-moi, j´peux citer leurs défauts : jalousie bercée de magie noire Suceurs de voyous imaginaires, Zanotti, Versace, Margiela
Bah oui, c´est violent, j´les entends miauler Nouvel album, j´ai la mélo´, faiseur de monnaie J´tiens la Vittel et le volant, j´apaise ma colère J´tiens la Vittel et le volant, y a pas d´quoi s´affoler Bah oui, c´est violent, j´les entends miauler Nouvel album, j´ai la mélo´, faiseur de monnaie J´tiens la Vittel et le volant, j´apaise ma colère J´tiens la Vittel et le volant, y a pas d´quoi s´affoler