Ne me dites pas qu´à peine éclose La fleur de l´âge se flétrit Je vis avec ce genre de rose Au parfum tout juste fleuri
Le temps qu´il a mis à figer Sur son regard quelques ridules D´autres ont tenté de les cacher En maquillage ridicule
Bien sûr la jeunesse suppose Quelques atouts innocents Qui font que le regard qu´on pose Sur elle semble vite indécent
La facilité qu´une jupe A de se lever me ravit Mais voilà je ne suis pas dupe De ces fausses facéties
Ne cherche pas à vouloir Arrêter le temps J´aime la beauté dont il te pare
Et dont je suis l´amant Ne cherche pas à vouloir Arrêter le temps J´aime la beauté dont il te pare Mmmh
Les filles de papier glacé A peine au sortir de l´enfance Viennent tout juste éveiller Le plus sensible de mes sens
Elles ont pourtant la fraude habile Dans leur refus d´être des mômes Et trompent les yeux les plus subtils De leur sensualité fantôme
Mais être une femme suppose Bien d´autres arguments
Que ceux que ces filles exposent Inexorablement
Si ton corps galbe cette jupe C´est mon regard que tu ravis Mon âme que tu préoccupes Et mon corps qui crie merci
Ne cherche pas à vouloir Arrêter le temps J´aime la beauté dont il te pare Et dont je suis l´amant Ne cherche pas à vouloir Arrêter le temps J´aime la beauté dont il te pare Mmmh
Si ton corps galbe cette jupe
C´est mon regard que tu ravis Mon âme que tu préoccupes Et mon corps qui crie merci
Ne cherche pas à vouloir Arrêter le temps J´aime la beauté dont il te pare Et dont je suis l´amant Ne cherche pas à vouloir Arrêter le temps J´aime la beauté dont il te pare Mmmh