Elle me parle de cinéma, Je pense à sa cambrure. Jaoui, Bacri, De Palma, J´avoue n´en avoir cure. Elle termine ses phrases par "tu vois".
Oui, je vois l´échancrure. Je dirais même que je ne vois qu´ça, C´est une vraie torture.
Je branle du chef, j´opine, Occupé par ailleurs À mater sa bouche divine. C´est pas ma faute, pas mon choix. C´est biologique tout ça. Je libère de la testostérone Et ça je ne le contrôle pas.
J´écoute, mais je n´entends pas, sur la littérature, Toutes les positions qu´elle a, je m´en tape pour sûr. Moi, je pense Kama Sutra lorsque j´entends : "lecture".
Aussi fais-je mine de ne pas brusquer la créature.
Je branle du chef, j´opine, Occupé par ailleurs À mater sa bouche divine. C´est pas ma faute, pas mon choix. C´est biologique tout ça. J´ai des poussées de testostérone Et ça je les contrôle pas.
Elle étale du Spinoza comme de la confiture. Je sirote six/huit vodkas en guise de bromure. Hélas, ça ne suffit pas pour calmer la nature. Et si c´était un Wonderbra verrai-je l´armature?
Je branle du chef, j´opine, Occupé par ailleurs
A estimer son tour de poitrine. C´est pas ma faute, pas mon choix. C´est biologique tout ça. J´ai des poussées de testostérone Et ça je les contrôle pas {x2}.
Doucement je sens les dégâts que cause la biture Mais je fais fi de ce constat et, fort de ma culture : "Donatien Alphonse François serait de bon augure" Lui dis-je en insinuant mes doigts dans la dite échancrure.
Je branle du chef, j´opine, Occupé par ailleurs. C´est pas ma faute, pas mon choix.
C´est biologique tout ça. Je libère de la testostérone Et ça je les contrôle pas {x2}.
Je branle du chef, j´opine, Occupé par ailleurs À mater sa bouche divine. C´est pas ma faute, pas mon choix. C´est biologique tout ça. Je libère de la testostérone Et ça je ne le contrôle pas.