2. Avec le commissair´ de polic´ du quartier, Ils s´en vont à l´hôtel oÚ la femm´ du rentier S´occupait à Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Mettr´ le diabl´ dans son bÊnitier !
3. Ils trouv´nt un´ gross´ patronne aux appas plantureux Et la prient poliment de les mener tous deux A la chambre à Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah !
Coucher des pauvres amoureux.
4. Ils frappèr´nt par trois fois : l´amant s´interrompit Et dit :"0n a frappĂŠ".-La dam´ lui rĂŠpondit : " T´inquiètâ donc pas ! " Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! C´est rien : c´est qu´ça craqu´ dans l´bois d´lit !
5. L´commissair´ crie, très-fort " Ouvrez au nom d´la loi ! " L´amant lui rĂŠpondit, sur un ton plein d´Êmoi : " C´est que j´n´ai pas Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! " MĂŞm´ l´ombr´ d´un´ feuill´ de vignâ sur moi ! "
6. Mais quand ils fur´nt entrÊs, la patronn´ pousse un cri ; Ell´ venait, ô douleur, de r´connaÎtr´ son mari , Dans cet homme à Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Poil qu´un´ femme app´lait son chÊri.
7. Ell´ s´assied, pour êtr´ bien afin d´se trouver mal, Pendant que l´commissair´ dressait procès-verbal, Puis ell´ lâcha Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! La bond´ de son vas´ lacrymal.
8. Mais l´plaignant qui la râluqu´, dit d´un ton gĂŠnĂŠreux : " Messieurs, je r´tir´ ma plaint´, lâchez les amoureux " Puis, avec la Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Patronn´, i´s´ consolèr´nt tous deux.