J’habit’ près d’l’Ecol’ de méd’cine Au premier, tout comme un bourgeois, Un’ demeur’ magnifiqu’, divine, A l’Hôtel du numéro trois ! (bis)
Il y a, pour que tous aient leurs aises, Des lits d´fer et des lits en bois Et de tout´s les sort´s de punaises A l´hôtel du numéro trois. (bis)
(1) Les draps sont grands comm´ des serviettes ; Il n´y a qu´un seul modèl´, je crois, Et c´est l´chien qui lav´ les assiettes A l´hôtel du numéro trois. (bis)
Notre potag´ roul’ dans ses vagues Tant de cheveux que chaque mois Les clients s´en font fair´ des bagues A l´hôtel du numéro trois. (bis)
On y soign´ parfait´ment vot´ chambre, On la balai´ mêm´ quelquefois ; Mais ça n´sent ni l´Lubin, ni l´ambre
A l´hôtel du numéro trois (bis)
Une douc´ fraternité règne, Les voisins y sont très courtois Et nous avons tous le mêm´ peigne A l´hôtel du numéro trois. (bis)
La maison s´rait des plus tranquilles Si l’on ne jouait pas du hautbois, Du cor et d´un tas d´ustensiles A l´hôtel du numéro trois. (bis)
La bonn’ n´est pas un´ très bell’ fille, Mais nous n´tenons pas au minois, (2) On fui fait la cour en famille A l´hôtel du numéro trois. (bis)
Comm´ c´est pas d´l´or q´not´ bourse enferme
Et qu´ nous somm´s souvent aux abois, Y a plus personn´ la veill’ du terme A l´hôtel du numéro trois. (bis)
Variante pour le 3ème Couplet: (1) A tabl´ ceux qui veul´nt des serviettes Avec eux descendent leurs draps.
Variante pour le 8ème Couplet: (2) ´Et l´on fait l´amour en famille A l´hôtel du numéro trois. (bis)