Donne-moi un peu d´or, j´le transforme en diamant J´voulais qu´on s´aime, le contrecoup est tragique
Combien d´mes frères vont finir sur un brasier à côté d´ceux qui croyaient qu´cette vie est magique ? J´nous voyais si loin juste à côté des étoiles, loin du chant des sirènes et des bécanes Mon Dieu, j´ai pas compris c´que t´as fait de moi, j´ai b´soin d´m´enfoncer dans les abysses d´ma mémoire On veut tous partir en héros, enterrez-nous avec nos frérots J´ai donné cent, deux mille, j´ai zéro J´les vois s´comporter comme des bekhos Ailleurs, j´suis loin, c´est mon créneau, posé dans bendo, brûlant comme le fuego Y a l´injustice qui nargue dans le bendo mais pour calmer, y a le bedo Manque les gens qui sont là-haut (Han), c´est pas une perte, c´est pas un cadeau
J´dis Hamdoulah, Arigatō, wakha m7tajin mkhassna walou Oh, comment on fait ? Viens, on ferme les yeux, on vit dans un rêve
On est jeunes et arrogants, y a pas d´romance, on bande sur la guerre C´est les mots (Han) qui blessent, qui causent des maux, qui remplissent les hôpitaux C´est mon sang, c´est mon amigo : quand il m´appelle, j´réponds illico RDV chez l´véto´, parce qu´ils nous traitent comme des animaux J´ai envie d´fershekh din mou parce que j´ai mangé un Haribo
J´marche en enfer, j´vois pas d´angels, où est caché mon paradis ?
Si j´meurs demain, ne sois pas triste, souris pour moi et dis-leur qu´ils m´rappatrient Drôle de vie, j´vois mes frères partir, on m´a dit qu´ça f´sait partie de la partie Emportés par des armes qui s´propagent comme des maladies Khoya, quand j´fume ma weed, j´fly, les coups durs ne m´atteignent pas J´ai plongé dans l´eau mais les brûlures ne s´éteignent pas Oh, les brûlures ne s´éteignent pas (Ah), ah
Où est-c´que j´ai mal ? J´ai du mal à l´dire, du mal à aimer à ressentir Qui est c´fils de pute qu´a voulu m´faire croire qu´on pouvait vivre heureux sans biff ? Oh, les brûlures ne s´éteignent pas, han, han J´connais des gens armés très cons qu´ont l´cœur solide comme le béton
Très bons, très cons, très cons, très bons, oh, oh, c´est entêtant J´étais un têtard, j´suis un dragon, maintenant, dis-moi, on fait comment ? Respecte plus faible que toi, quand la roue tourne, c´est étonnant Ça m´croise dans l´bendo, ça m´dit : "Zaidane, tu vis" Avant d´ça combien d´fois mon Dieu m´a puni ? Mama nmout 3lik, demain j´t´offrirai des tulipes (Han) J´étais ignorant, on m´a dit : "Étudie"
On est jeunes et arrogants, y a pas d´romance, on bande sur la guerre C´est les mots (Han) qui blessent, qui causent des maux, qui remplissent les hôpitaux C´est mon sang, c´est mon amigo : quand il m´appelle, j´réponds illico
RDV chez l´véto´, parce qu´ils nous traitent comme des animaux J´ai envie d´fershekh din mou parce que j´ai mangé un Haribo
J´marche en enfer, j´vois pas d´angels, où est caché mon paradis ? Si j´meurs demain, ne sois pas triste ou réponds-moi et dis-leur qu´ils m´rappatrient Drôle de vie, j´vois mes frères partir, on m´a dit qu´ça f´sait partie de la partie Emportés par des armes qui s´propagent comme des maladies Khoya, quand j´fume ma weed, j´fly, les coups durs ne m´atteignent pas J´ai plongé dans l´eau mais les brûlures ne s´éteignent pas Oh, les brûlures ne s´éteignent pas (Ah), ah