Jamais j´pourrais prendre le seum Jamais, jamais Jamais, jamais, jamais Jamais, jamais
Des tonnes de tagas qu´on écoule à la putain d´s´maine J´ai deux-trois putes, deux-trois clics à péter sur Boulevard Haussmann Jamais, jamais je pourrais prendre le seum Surtout pour une pute ou des potes, y´a les flics, direct je les sème Jamais, jamais, jamais, jamais Jamais, jamais, jamais, jamais
Sale fils de pute, à c´qui parait tu déballes tout aux flics En bas d´chez moi, quand ils passent, mes thuggas font des signes et des fucks Rien n´pourra sortir, d´vant la juge, avec la rue, j´ai d´jà fait un pacte J´t´envoie des piques et des balles, le laser éclaire déjà ton pec
J´peux lire dans les yeux du buteur que sa survie sur l´R n´est jamais assuré Et dans la voix du guetteur que jamais les gyros ne pourront censurer J´peux lire dans les yeux des daronnes qu´elles n´aiment pas et voudraient toutes reprendre l´ascenseur Mais en vrai, j´m´en bats les c´, j´ouvre les portes du four et j´recale les suceurs, bye
Héro´, crack, pilon, beuh, coco, péage, xénons bleus GP noire, on est deux, ça pue la tate-pa, j´dors au 2 Car les condés n´cessent de roder, pas d´casque, rodéo, pas d´chance, Mondéo J´garde la foi comme ils touchent, j´commence tôt dès midi, P.A.P tous maudits, fin du texte, c´est minuit
Des tonnes de tagas qu´on écoule à la putain d´s´maine J´ai deux-trois putes, deux-trois clics à péter sur Boulevard Haussmann Jamais, jamais je pourrais prendre le seum Surtout pour une pute ou des potes, y´a les flics, direct je les sème Jamais, jamais, jamais, jamais Jamais j´pourrais prendre l´Essonne
Fuck Paris, fuck les flics, love Évry, love ma ville, gros doigt à la police Fuck ta ville, fuck ta stup, la gue-dro, les deux putes tournent beaucoup mieux ici Fuck les 22, le flieur qui m´soupçonne de plus lui stocker de la résine Fuck aussi toute la concu´, c´est Zolaski, j´reste le Cochi d´mon réseau
Toi, t´es Depp comme Johnny, hey, kalash sur les genoux, gang J´élimine le plus génant ils viennent en bonbon et repartent sur les genoux, gang, gang, gang Gang, gang, gang
Des tonnes de tagas qu´on écoule à la putain d´s´maine J´ai deux-trois putes, deux-trois clics à péter sur Boulevard Haussmann Jamais, jamais je pourrais prendre le seum Surtout pour une pute ou des potes, y´a les flics, direct je les sème Jamais, jamais, jamais, jamais Jamais, jamais, jamais, jamais Jamais j´pourrais prendre l´Essonne